Asie ou Europe?

Après une nuit de navigation au travers du détroit des Dardanelles et de la mer de Marmara, au petit matin et face aux premières lueurs du soleil levant, le bateau est arrivé à Istanbul. La ville était elle aussi en train de s'éveiller et déjà une nuée de bateaux et de bacs parsemait les eaux du Bosphore d'un traffic bruyant et désordonné. Plus tout à fait en Europe, pas encore en Asie, l'air doux avait un parfum d'orient. La brume laissait apparaitre la ville en des formes imprécises dont seuls emergeaient distinctement les minarets de la mosquée bleue et le dôme imposant de Ste Sophie.

Lever du jour sur Istanbul

 


Le Bosphore dans la brume

 


La corne d'or

 


Sainte Sophie

 


Le palais de Topkapi

 

Traffic sur le Bosphore

 
 
 
 

Après avoir effectué les formalités de débarquement et les contrôles d'immigration, nous avons rejoint la partie de la ville appellée "la corne d'or" où l'on trouve les trois plus célèbres monuiments de la ville, la Mosquée bleue, la cathédrale Ste Sophie et le palais Topkapi le palais du Sultan. En fin de matinée, visite du "Grand Bazar, un immense souk couvert avec plus de 3000 petites échopes où tu peux trouver tout et n'importe quoi. Au bout d'un moment, il y a tellement de choses qu'on finit par ne plus rien voir, le tout dans un brouaha incroyable.

Visite du palias de Topkapi l'après midi, palais du sultan Ottoman construit après la conquète de la ville face aux romains. 5000 personnes vivaient dans ce palais.

La Mosquée Bleue

Topkapi

Le grand Bazar

L'entrée du souk

Les jardins du Vatican

 

Lors de la visite de Rome, il était prévu de faire une visite de la Rome baroque avec la visite des principaux monuments de la renaissance et de la période contemporaine de cette ville. Mais au dernier moment, comme il n'y avait pas assez de personnes pour cette visite, celle-ci a été annulée. On a donc choisi de faire l'excursion "les mystères de la rome secrete" qui ressemblait beaucoup à l'autre.

Au programme de cette visite, le matin il y avait la visite des jardin du vatican.

Et rentrer et visiter l'intérieur de cet état n'est pas chose facile compte tenu de toutes les vérifications ert contrôles de sécurité que nous avons du subir.

Présentation des passeports, photocopie, portique de sécurité comme dans les aéroports, bref la totale.

Mais cela en valait vraimment la peine. C'est, en plein centre de Rome, un vrai morceau de paradis, 44 hectares de jardins mlagnifiques et de batiments superbes. De très belle fontaines renforce l'impression de fraîcheur que l'on ressent sous le couvert des arbres, avec des contrastes de couleurs entrel le vert des pelouses et des bosquets, le bleu du ciel romain et les fleurs. A voir absolument!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hommage au soleil

Quelques images de levers ou de couchers de soleils. Ce sont toujours des instants que je trouve magiques, beaux, intenses, et souvant assez bouleversants.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je pense que ces quelques photos te plairont. Je les trouve belles et infiniment romantiques. Comment ne pas penser à toi en les regardant, comment ne pas s'émerveiller devant la beauté des choses et du monde. Je te les offre, à toi qui mon soleil.

Etonnante rencontre

 

Lors de la traversée du détroit de Messine le jeudi 20, alors que le bateau arrivait prés du débouché nord du détroit, nous avons croisé un sous-marin qui navigait en surface en direction du sud.

 

 

J'au pu prendre ces quelques photos au téléobjectif. En les grossissant au maximum sur l'ordi on voit un drapeau qui indique que c'est un sous marin américain. On voit même 5 ou 6 marins sur le haut du chateau.

 

Chose amusante, en jettant un oeil comme je le fait régulièrment au groupe Facebook consacré à la base de sousmarin de bordeaux, la Betasom, qui est un groupe d'échange italien, j'ai vu un post d'une personne qui avait vu passer depuis la côte ce sous-marin et en avait fait une photo avec son portable. J'ai alors posté mes 8 photos qui ont eu beaucoup de succés vu le nombre de "j'aime" recoltés.

 

 

 

Perdu en mer ?

Je suis seul face à la mer, mon regard perdu sur la ligne incertaine de l’horizon. Le vent du large de sa fraiche caresse apaise la morsure du soleil dont les rayons brulent ma peau. Seuls les caps que l’on franchit brisent  cet infini azur et  continu,  dévoilant chacun  lentement un nouvel horizon qui s’offre et se dévoile lentement au regard du voyageur impatient. Je scrute la mer si calme et si paisible, pareille à un miroir azur dont la brillante surface ne semble dérangée que par la trace,  blanche rayure éphémère,  que laisse le sillage de mon bateau.

Etrange sensation de se sentir à la fois perdu  au milieu du néant, loin du monde des hommes, mais de savoir aussi que par delà la mer, la vie continue. Un proverbe dit qu’il existe trois sortes de personnes, les morts, les vivants et ceux qui sont en mer. Etrange similitude avec notre histoire, où je me sens parfois perdu et si seul loin de toi, mais en ressentant en tout lieu et à chaque instant ta présence dans mon cœur, douces pensées apaisantes et rassurantes comme une ancre, comme une ligne de vie, comme un filament de lune, si fragile et si fort à la fois.

Belle Sicile 

 

Alors que le bateau effleure en une lente et silencieuse caresse le rivage de la Sicile, je caresse du regard cette île à la fois inconnue et mystérieuse, mais aussi si chère et si envoutante.  Dans les brumes limbées du soir qui descend,  je contemple les contours de ses paysages incertains, où mon imaginaire d’enfant voyageur  croit y deviner les lignes de ton visage si beau et de ton regard si mystérieux et si troublant.  Et je me dis que c’est de cette terre où ton enfance avait son toit, de cette terre où s’ancrent  tes racines, que tu tires ta beauté  et la grandeur de ton âme, faite  d’un si beau mélange de  force  de tendresse et de douceur.

Elle est là, à la fois si proche et si inaccessible. C’est alors que je sens monter en moi la vague submergeante des émotions. Et  même si ma main ne se resserre que sur le vide de ton absence, en cet instant elle n’en veut pas d’autre, pas d’autre que ta main dans la mienne et nos regards figés sur le même horizon. Tu es là, je sens ta présence. Mon corps frissonne, je me mets à rêver de l’infinie douceur de l’instant, fragment d’éternité, où nous serions ensemble toi et moi sur le pont de ce bateau.  

Encore une fois je pars !  Je me sens comme un enfant impatient, les yeux avides de voir le monde et de découvrir de nouveaux horizons.  Mais malgré tout, je me sens également triste de te laisser. Et en posant le pied sur cet immense bateau qui va m’emmener loin de toi, je lui murmure tout bas de me faire découvrir mille belles choses que je pourrais partager avec toi.

 

Le départ

Le terminal de départ

Embarquement le dimanche 9 septembre en début d’après-midi dans le terminal voyageur du port de Savonne.   Après s’être installé, après avoir fait le tour rapide du bateau et avoir participer aux exercices réglementaires d’évacuation  en cas de besoin d’abandon du navire, tous les passagers se sont mis sur les ponts ou sur les balcons pour assister au départ.

 

Sortie du port de Savonne

Lentement, presque imperceptiblement, le bel oiseau blanc s’est éloigné du quai. Alors les mains se sont levées et ce sont des milliers d’au revoir qui ont été lancé vers la terre. Et qu’importe si l’on ne connait personne, ceux qui restent nous répondent, tradition des départs. Et c’est dans la lumière du soleil couchant que retentissent les trois coups de corne de brume, véritable signal du départ. Et comme si la montagne répondait au bateau, l’écho  nous est revenu en un majestueux au revoir.

Le bateau :

Il s’appelle le Méditerranéa. C’est un paquebot « classique » construit en 2003 en Finlande. Il fait près de 300m de long, 11 ponts, 2500 passagers et 850 membres d’équipage. Sa thématique de décoration tourne autour de la culture méditerranéenne et les palais vénitiens

La cheminée

 

 

Comme un phoenix qui renait de ses cendres, voilà que tu renais à la vie! Tu seras mon carnet de voyage le moyen de partager avec mon Elfe les plus belles images et mes plus beaux souvenirs que je ramène de ce voyage en Orient J'y écrirai également tout ce que mon coeur exprimera, tout ce que j'aurai eu envie de te dire, ou de partager avec toi si nous avions fait ce voyage ensemble. Cela n'a pas toujours été possible de pouvoir m'isoler pour écrire sur l'instant ce que la beauté des choses m'inspirait. Alors je me repétais les mots et les phrases pour m'en souvenir.